cult of love


Je vous l'avez dit: lazy sunday. J'ai essayé de me concentrer pour regarder un film mais  j'ai fini par lancer une vidéo du British Vogue (on ne se refait pas). Sept heures dans Paris en compagnie de Lila Moss, nepo baby étonnamment terre à terre, qui nous raconte sa passion pour le matcha et les pharmacies françaises (si on m'avait dit un jour que la fille de Kate Moss ferait de la pub pour l'homeoplasmine) (mais il me semble en y réfléchissant que Kate avait déjà vanté les mérites de La Roche-Posey, je fais tranquillement les connexions maintenant que j'y repense). Je me demande si je ne vais pas me poser dans le café qu'elle recommande, la semaine prochaine. Très envie (et c'est très sale de ma part) de goûter aussi un croissant vanille de chez Grolet. Ce sera parfait après ma séance spa (oui, je deviens ce genre de personne).

Vu également le second volet de Dune et je n'arrêtais pas de penser à ce que Villeneuve a du ressentir, en voyant le résultat final. Ce projet, c'est avant tout les grands rêves d'un adolescent passionné, et rien que pour ça, je n'arriverai même pas à m'apesentir sur le moindre détail de merde. Le film est grandiose, point barre. Et la musique de Hans Zimmer. Et la voix de Loire Cotler.

Et puis Rebecca Ferguson. REBECCA FERGUSON.

Je vous laisse l'admirer sur la photo qui illustre l'article.

On se retrouve un peu plus tard.

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