Je ne vous mentais pas quand je disais que j'avais une lubie avec les photos de Florence Pugh. En vérité, j'ai aussi une lubie avec ses films. Je crève d'envie de me faire un week end Miss Flo, avec marathon Les filles du docteur March, The Wonder et Don't worry Darling. J'ai pas vu A good person, signé par Zach Braff (encore un ex affreux), peut-être que je vais me le rajouter à la liste. Je ne le réalisais pas, mais sa filmo n'est pas si énorme que ça, alors que j'ai l'impression qu'elle est juste partout dans nos vies. Sans doute que je l'ai beaucoup beaucoup beaucoup trop écouté quand elle parlait bouffe (et ça se comprend parfaitement).
Faudrait que je termine aussi cet article sur Lady Bird, focus relation mère/fille. Je pense que je suis prête à lâcher certaines choses. En tout cas, en l'écrivant, j'ai l'impression d'avoir enfin pu déposer les valises. Genre enfant prodigue qui se ramène sur le perron, tendant fébrilement la main pour ouvrir la porte. Mais je sens que c'est l'ambiance générale de cette année. Se débarrasser de ce qui prend trop de place là où on voudrait un peu de vide. Pas forcément repartir de zéro. Juste repartir différemment, mieux. Je sens que c'est le moment, tous les signaux sont au vert. Mais le problème vient de moi. Il vient toujours de moi. Je sens que c'est le moment, mais je ne suis pas prête. Je ne suis pas prête à faire place nette. L'histoire, c'est que je sais ce que je perds mais j'ignore ce que je gagne. C'est que j'ai un naturel à broyer du noir, un caractère à la catastrophe. J'ai beau me répéter que c'est normal, que ça fait parti du processus. qu'il faut le rejoindre, ce putain de rivage. Mais je ne sais pas nager et de toute façon, on est pas bien, là? Non, on est pas bien mais c'est tout ce qu'on connait. C'est pas bien mais ça reste rassurant, c'est fait de ses propres repères. Je passe en boucle dans ma tête l'interview de Gerwig où elle explique comment elle a tout foutu en l'air pour le théâtre et le ciné. Comment elle a dit merde à son job pourri pour tout ça. On a beau se répéter que demain, c'est le jour J, dans neuf cas sur dix, il ne se passe rien. Je me demande ce qu'il faut pour être dans la vibe du un jour sur dix.
J'ai ressorti des titres de Suki Waterhouse. Encore. C'est ma comfort pop. Il faut bien ça de temps en temps. To Love est un titre magnifique. Elle me rend nostalgique de temps heureux que j'aurais aimé connaitre. Je ne sais plus exactement, mais il y a longtemps, il existait une espèce de liste, quelle serait la soundtrack de votre vie. Pour moi, on peut booker Waterhouse.
Faudrait que je termine aussi cet article sur Lady Bird, focus relation mère/fille. Je pense que je suis prête à lâcher certaines choses. En tout cas, en l'écrivant, j'ai l'impression d'avoir enfin pu déposer les valises. Genre enfant prodigue qui se ramène sur le perron, tendant fébrilement la main pour ouvrir la porte. Mais je sens que c'est l'ambiance générale de cette année. Se débarrasser de ce qui prend trop de place là où on voudrait un peu de vide. Pas forcément repartir de zéro. Juste repartir différemment, mieux. Je sens que c'est le moment, tous les signaux sont au vert. Mais le problème vient de moi. Il vient toujours de moi. Je sens que c'est le moment, mais je ne suis pas prête. Je ne suis pas prête à faire place nette. L'histoire, c'est que je sais ce que je perds mais j'ignore ce que je gagne. C'est que j'ai un naturel à broyer du noir, un caractère à la catastrophe. J'ai beau me répéter que c'est normal, que ça fait parti du processus. qu'il faut le rejoindre, ce putain de rivage. Mais je ne sais pas nager et de toute façon, on est pas bien, là? Non, on est pas bien mais c'est tout ce qu'on connait. C'est pas bien mais ça reste rassurant, c'est fait de ses propres repères. Je passe en boucle dans ma tête l'interview de Gerwig où elle explique comment elle a tout foutu en l'air pour le théâtre et le ciné. Comment elle a dit merde à son job pourri pour tout ça. On a beau se répéter que demain, c'est le jour J, dans neuf cas sur dix, il ne se passe rien. Je me demande ce qu'il faut pour être dans la vibe du un jour sur dix.
J'ai ressorti des titres de Suki Waterhouse. Encore. C'est ma comfort pop. Il faut bien ça de temps en temps. To Love est un titre magnifique. Elle me rend nostalgique de temps heureux que j'aurais aimé connaitre. Je ne sais plus exactement, mais il y a longtemps, il existait une espèce de liste, quelle serait la soundtrack de votre vie. Pour moi, on peut booker Waterhouse.
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