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J'espère que vous avez passé de bonnes fêtes, et ce, sans le concours des tontons racistes. C'est un des rares trucs qui me fait vraiment envie, dans l'idée de famille, c'est de me retrouver au milieu de gens uniquement de gauche. Vous savez, on commence à causer politique et tout le monde est d'accord au bout de dix minutes, donc au final, on se mettrait à causer football et c'est là que ça pourrait dégénérer. En ce qui me concerne, j'ai fait le choix d'un cercle réduit, puisque l'entourage est principalement devenu macron compatible. C'est qu'ils étaient tous pour la plupart socialistes mais à l'époque, je dis ça pour les jeunes, c'était quand même dans l'ensemble mieux que rien. Mais ils sont partis dans le mauvais sens, alors j'ai jeté l'éponge.
Vacances plutôt agréables pour le moment. Je n'ai pas beaucoup de jours donc j'essaie de rentabiliser un maximum en faisant des trucs que j'aime. J'ai relu hier Cavaler seule, de Kathryn Scanlan, qui retrace la vie de Sonia, une entaineuse de chevaux dans le Midwest. J'ai toujours aimé ces proses épurées, fragmentées. On se laisse porter par les mots, presque impossible de s'arrêter en chemin et quelque part, on n'a pas vraiment envie de s'arrêter. On la suit dans ce monde exlusivement masculin, à devoir s'imposer, jour après jour. Jouer des coudes, et même parfois plus. Souffrir, mais surtout aimer. Je la trouve terriblement touchante, dans sa fragilité, dans son exigence. Je pense que je vais embrayer aujourd'hui avec Dogrun, d'Arthur Nersesian. J'avais adoré Fuck up, donc il fallait bien évidemment que j'aille du côté de son second livre traduit en français.
En attendant, je vais aller me faire des pancakes en continuant mon puzzle de 1000 pièces. Et peut-être commencer à penser à mes résolutions pour 2025.
Vacances plutôt agréables pour le moment. Je n'ai pas beaucoup de jours donc j'essaie de rentabiliser un maximum en faisant des trucs que j'aime. J'ai relu hier Cavaler seule, de Kathryn Scanlan, qui retrace la vie de Sonia, une entaineuse de chevaux dans le Midwest. J'ai toujours aimé ces proses épurées, fragmentées. On se laisse porter par les mots, presque impossible de s'arrêter en chemin et quelque part, on n'a pas vraiment envie de s'arrêter. On la suit dans ce monde exlusivement masculin, à devoir s'imposer, jour après jour. Jouer des coudes, et même parfois plus. Souffrir, mais surtout aimer. Je la trouve terriblement touchante, dans sa fragilité, dans son exigence. Je pense que je vais embrayer aujourd'hui avec Dogrun, d'Arthur Nersesian. J'avais adoré Fuck up, donc il fallait bien évidemment que j'aille du côté de son second livre traduit en français.
En attendant, je vais aller me faire des pancakes en continuant mon puzzle de 1000 pièces. Et peut-être commencer à penser à mes résolutions pour 2025.
On se retrouve plus tard.
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