does evil come from within us, or from beyond?

 

Je suis retournée voir Nosferatu ce matin uniquement pour revoir la performance de Lily Rose Depp. C'est un film étrange, qui vous laisse un immense vide à la fin de la projection, comme s'il vous rinçait de l'intérieur. Ou peut-être que c'est simplement un très bon film, comme on en fait plus, et qu'on ne sait pas comment véritablement réagir, j'arrive pas encore à le déterminer. D'habitude, un film m'habite un peu, mais il ne me donne pas le sentiment de totalement me perdre. Et puis je le préfère au Dracula de Coppola, c'est pour dire. Non, vraiment, je suis fascinée par cette prestation de Depp, incarnation de la douleur et de la résilience. Il y a quelque chose de vraiment très magnétique chez elle, maintenant j'ai envie de la voir dans tous les futurs projets d'adaptations de romans gothiques. 


(rien à voir mais je rêve de ces platform shoes oranges)

Sinon, mon mois de janvier va être chargé, avec la sortie du deuxième numéro de Fragments où, pour citer Cebe Barnes, j'introduits ce numéro, merveilleux et génial (au même titre que mon propre article, merveilleux et génial). Pour une fois, il ne s'agit pas d'un truc pondu sur un film ou un album, mais juste moi, dans ce qu'il y a de plus banal, de plus colérique, et de plus dépressif qui soit. Ou comme j'aime à le dire, une grande et longue note de blog écrite avec soin et attention (contrairement à mes articles ici, parce que je préfère quand c'est brut et que c'est dépasse sur les bords). Donc tout ça pour dire, achetez Fragments, c'est cool et en plus il y a du beau monde dedans.

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