John John et Carolyn, pour moi, c’était New York à son meilleur : des looks Gap, du Calvin Klein bien coupé, du style sans effort. C’est peut-être pour ça qu’avec le temps, j’ai décroché. La ville ne se ressemble plus. Une espèce de Williamsburg à rallonge, peuplée de fashionistas crado qui s’habillent comme des mômes de 4 ans dans un vieux clip de TLC qui auraient eu un gosse avec Charli XCX. Mais New York, c’est pas ça. C’est du normcore. Des traders sous Lexapro qui cavalent, des filles pressées qui claquent la portière du taxi pour aller chercher un café pour leur boss tyrannique. Tout ça filmé en 35 mm, avec un backlighting de fin d’après-midi sur Central Park. Voilà ce que ça devrait être.
En attendant, je me plonge dans la vie de Carolyn. Le livre Once Upon A Time est tout ce que j'attendais d'un premier mai. Doux et joli, entouré de muguet (on m'en a jamais autant offert aujourd'hui) (rien à foutre de la Saint Valentin, si j'ai pas mon muguet un 1er mai, je peux faire la gueule).
J'aurais bien aimé être une femme Carolyn Bessette.
welcome to new york
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