
La rage est mon moteur. Il suffit de me dire un mot et je démarre au quart de tour. Je déteste ça mais en même temps, il n'y a que ça pour que je fasse ressortir le meilleur qu'il y a en moi, ou du moins, le peu qui soit un minimum digne digne d'intérêt. C'est mon paradoxe. J'ai d'ailleurs un peu écrit à ce sujet, normalement le papier devrait sortir en décembre dans la revue Fragements. Je me demande si je ne vais pas sérieusement me remettre à écrire, j'ai fait pas mal de trucs ces derniers temps. Assez triste que Vice soit fini, j'aurais eu un super papier à leur proposer: j'ai survécu à un mariage avec des témoins de Jéhovah. Tant que j'y pense, je serai aussi dans une autre revue, en octobre. Non, vraiment, j'ai une vie pleine d'aventures en ce moment (si vous saviez, je ne peux pas tout vous raconter, je suis soumise à une clause de secret professionnel).
Je me suis remise aussi à regarder Lost. Je ne pense jamais à la citer parmi mes séries favorites alors qu'elle est sans doute l'une qui m'a le plus marquée. Parfois, je me demande si je n'aimerais pas me crasher sur une île. Vivre de poissons et de remise en question névrotique.
Je me suis remise aussi à regarder Lost. Je ne pense jamais à la citer parmi mes séries favorites alors qu'elle est sans doute l'une qui m'a le plus marquée. Parfois, je me demande si je n'aimerais pas me crasher sur une île. Vivre de poissons et de remise en question névrotique.
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