Il débarque donc à L.A. sans plan (d’où le titre), sans thune, et sans réel but autre que retrouver Barbara, qui n’aura pas l’air hyper emballée (on ne la juge pas). Mais bon, il persiste, se fait embarquer dans une série de mésaventures absurdes et clichés : squatter chez un acteur raté (joué par un Johnny Depp qui traîne dans un caméo méta qui sort de nulle part), se frotter à l’industrie du cinéma sans trop comprendre comment ça marche, et tenter de se réinventer sous le soleil californien. Spoiler: il galère.
Le film est un ovni (ou un peu dans la veine d'une possible chanson écrite par une Taylor Swift bourrée, pour vous situez le niveau). Parfois hyper drôle, parfois super maladroit, mais toujours un peu lunaire et malaisant. David Tennant est attachant parce que David Tennant est attachant, et L.A. est filmée comme un mirage inaccessible, pleine de promesses mais aussi de désillusions. En bref: un film sur un mec qui croit que l’amour est une carte GPS, sauf que non. Je le range dans le domaine de la romcom qu'on attendait pas mais qu'on nous a quand même refourgué, à côté de Watching The Detectives avec Cillian Murphy et Lucy Liu.
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