no one knows i'm gone


Quand j'étais adolescente et désespérée, je me rappelle m'être demandée quelle adulte j'allais être et si ce sentiment qui pourrissait mes tripes allait perdurer.

Il n'est plus vraiment là aujourd'hui et je me surprends à regarder la personne que je suis aujourd'hui avec un certain soulagement. Au final, mon moi terriblement perfectionniste (pour quelques rares aspects de ma vie) arrive à s'en accomoder. 

Journée qui s'annonce prometteuse. Deux bons disques à écouter, Waxahatchee et The Jesus & Mary Chain (il me semble pas si terrible que ça mais j'aime les vieux écossais, c'est ma faiblesse).

Et j'en place une pour aussi pour Anywhere I Lay My Head de Scarlett Johansson, que je tenterai de refourguer comme l'un des meilleurs disques de 2008 jusqu'à ma mort (ScarJo, si tu me lis, refais un disque, des covers, n'importe quoi, mais reprends). 

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